C’est dans sa publication du bi-mensuel qu’il y a eu un article sur le fils cadet du président Ali Bongo Ondimba, amenant la Présidence Gabonaise a émettre un communiqué.
« Dans son édition du 25 novembre 2020, La lettre du continent a cru bon d’écrire que « Bilal, troisième fils du président gabonais Ali Bongo a interrompu les études qu’il menait aux Etats-Unis pour intégrer la force chargée de la sécurité du Palais du Bord de mer et de tout le staff présidentiel. »
Cette accusation, provenant d’une publication qui de longue date a fait du « Gabon bashing » son fonds de commerce, est futile et creux. A telle point qu’elle interroge sur les motivations réelles de son ou de ses auteurs, visiblement très éloignées du noble travail de journalisme ayant pour objet d’informer l’opinion en rapportant des faits réels et non illusoires.
Face au foisonnement de la diffusion d’informations mensongères et diffamatoires visant ainsi les institutions de la République et les personnes qui les incarnent, des poursuites judiciaires seront dorénavant engagées inévitablement contre toute personne auteur ou complice de cette publication, au Gabon et à l’étranger, conformément aux textes en vigueur.
Ce sera le cas en l’espèce.
Les libertés d’expression et de l’information, consacrées par la Constitution, ne sauraient justifier que des actes portant atteinte à l’honneur et à la dignité des institutions et des citoyens, tout aussi protégés par la Constitution, demeurent tolérés et impunis. »