C’est dans un article publié vendredi 29 octobre, que le célèbre quotidien The Washington Post le rapporte.
Cette semaine, l’ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies étaient en tournée en Afrique.
Si à cette occasion, elle a vigoureusement réprimandé la junte malienne en réaffirmant la nécessité de rendre le pouvoir au civil en organisant des élections en février prochain, Linda Thomas-Greenfield n’a en revanche pas tari d’éloges à l’égard du Gabon.
Comme le rapporte le célèbre Washington Post, l’un des quotidiens les plus lus et respectés au monde, « Mme Thomas Greenfild a félicité le président Ali Bongo Ondimba pour la récente élection du Gabon comme membre non-permanent au Conseil de sécurité de l’ONU », mais aussi pour « son implication décisive dans la lutte contre le réchauffement climatique ».
Le numéro un gabonais dont le pays est le chef de file des négociateurs africains sur le climat, sera l’un des principaux acteurs de cette grand-messe. Pour preuve, il s’exprimera entre le président français Emmanuel Macron et son homologue américain Joe Biden. Rien de moins !