Après la publication du contenu de « Pandora Papers » mettant en cause plus de 330 personnalités, dans laquelle y figure le nom du président gabonais Ali Bongo, le porte-parole de la présidence, Jessye Ella Ekogha a tenu à éclaircir les journalistes sur ces accusations fades et creuses lors de son point de presse.
C’est lors de sa conférence de presse ce jeudi 7 octobre 2021, que Jessye Ella Ekogha est revenu sur ce tissu d’événements frivoles et chimériques accusant le chef de l’État Ali Bongo Ondimba.
En effet, questionné sur ce rapport de « Pandora Papers », le patron de la communication présidentielle s’est donné à cœur de répondre aux journalistes présents dans la salle : « De quoi parle-t-on aujourd’hui, sérieusement ? On parle d’un rapport que très peu de personnes ont lu. Moi par exemple, je l’ai lu. S’agissant du Gabon, on parle d’actes qui se seraient passés, car on parle au conditionnel. Et si ces actes s’étaient passés, on parle d’actes qui n’aurait rien de répréhensible, qui se seraient déroulés il y a plus de vingt ans et de sociétés qui aujourd’hui n’existent plus »
Et de renchérir, « Des personnes essaient de monter un scandale sur rien du tout. On arrive même à se poser la question de savoir si ça ne fait pas plus vendeur pour certains de mettre des noms sur certaines de leurs études ou publications. »
Le contenu de ce rapport de « Pandora Papers » n’est là que frivolité, car il révèle la mesquinerie de ses auteurs, lesquels echaffaudent pour tenter de ternir l’image des personnalités africaines et non celles européennes.
De fait, comment comprendre que ledit rapport contenant une flopée de noms de personnalités aussi bien africaines qu’européennes, ne fait juste état que des noms des premiers cités, et non des seconds?
Surtout quand on sait que dans cette liste de plus de 330 personnalités mentionnées, il y figure une pléthore de noms de grandes personnalités européennes, notamment Dominique Strauss Kahn (DSK), ancien directeur du FMI et ancien ministre de l’Economie français. Pourquoi ces mêmes médias n’en parlent pas ?
Nous vous laissons toutes ces interrogations afin de solliciter vos interventions sur le sujet.